"La couverture médiatique du référendum grec s’est transformée, comme on pouvait s’y attendre, en véritable curée anti-Syriza. Dans la presse écrite, sur Twitter, à la télévision,
c’est à un déferlement de mépris, voire de haine, que l’on a assisté,
avec une virulence qui rappelle inévitablement les grandes heures du référendum français de 2005."
Lire la suite sur le site d'ACRIMED : http://www.acrimed.org/article4715.html
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire